Les sous-marins français
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La France est dotée de neuf sous-marins nucléaires opérationnels. Ils dépendent tous de la Force océanique et stratégique (FOST). Les cinq membres du Conseil de sécurité des Nations-Unies (États-Unis, Chine, Russie, Royaume-Uni et France) sont actuellement les seuls États à maîtriser la propulsion nucléaire sous-marine.
Histoire des sous-marins français
Les sous-marins sont des navires submersibles. Ils sont capables de se déplacer sous et à la surface de l'eau. La plupart sont des navires de guerre. Le reste des sous-marins est essentiellement utilisé pour la recherche océanique et l'exploitation pétrolière.
Les débuts
Les premières inventions françaises et étrangères ont commencé au début du XVIIe siècle. En France, le premier véritable sous-marin, baptisé Le Belledonne, est conçu en 1844 par le docteur Prosper-Antoine Payerne. Les premiers essais ont lieu sur la Seine et il est ensuite utilisé pour réaliser des travaux portuaires.
En 1863, Le Plongeur, premier sous-marin propulsé par un moteur à air comprimé, est conçu par le commandant Siméon Bourgois et l'ingénieur Charles Brun. Son équipage est composé de 7 membres. Ce sous-marin mesure 42,50 mètres de long. Mais il est très instable, manque d'autonomie et sa vitesse est limitée.
Les premiers sous-marins opérationnels
Le Peral, conçu en 1885 par un ingénieur militaire espagnol, est le premier sous-marin opérationnel à usage militaire. Mais il était facilement détectable.
Le premier sous-marin réellement opérationnel est Le Gymnote. Construit en 1887 par les Français Henri Dupuy de Lôme et Gustave Zédé, il était propulsé par un moteur électrique, armé de deux torpilles, et pouvait embarquer jusqu'à sept personnes. Il sera suivi par Le Morse douze ans plus tard puis par les quatre Farfadets en 1901.
À la fin du XIXe siècle, le submersible est conçu. Il est composé d'un torpilleur, permet de naviguer en surface, en haute mer et plonge pour le combat. L'ingénieur français Maxime Laubeuf conçoit le Narval en 1899. Il est équipé d'un périscope et est le premier sous-marin équipé d'une propulsion mixte (moteur électrique en plongée et machine à vapeur en surface).
Les sous-marins français depuis la Première Guerre mondiale
Pendant la Première Guerre mondiale, on utilise des submersibles à propulsion diesel-électrique. Mais le rôle des forces sous-marines françaises dans la guerre sous-marine est mineur. Dans l'entre-deux-guerres, la France possède une importante flotte sous-marine avec 110 unités.
En 1939, la flotte sous-marine française aligne 77 bâtiments. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les Allemands améliorent les submersibles, leur permettant de remonter très rarement à la surface, créant ainsi de véritables sous-marins. Les sous-marins à propulsion nucléaire apparaissent dans les années 1950, à la suite de l'USS Nautilus de 1954.
Dans les années 1960-1980, différentes classes de sous-marins à propulsion classique se succèdent au sein des forces sous-marines françaises : Aréthuse, Narval, Daphné, et la classe Agosta, dernière classe de sous-marins à propulsion classique construite pour la marine française.
L'ère nucléaire est officiellement lancée en France en 1971 avec la mise en service active du premier sous-marin nucléaire lanceur d'engins de la classe Le Redoutable. Puis une classe de sous-marin nucléaire d'attaque Rubis est construite. Elle utilise la même technologie de propulsion nucléaire et reprend la forme de coque des Agosta.
Prolifération et exportations
En 2013, la Marine nationale française dénombrait 500 sous-marins militaires répartis à travers le monde. Selon elle : 42 marines en possèdent, 62% de cette flotte mondiale sont des sous-marins d'attaque à propulsion diesel, 20% sont des sous-marins nucléaires d'attaque (SNA), 8% des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE).
La Corée du Nord, les États-Unis, la Chine et la Russie détiennent la moitié des unités de sous-marins (cela ne tient pas compte de leur état ni de leur capacité opérationnelle). Les membres de l'OTAN détiennent un tiers des sous-marins. Depuis les années 2000, une course à l'acquisition de sous-marins s'est également engagée en Asie.
La Marine nationale constate également une intensification de l'activité militaire sous-marine. La menace sous-marine est essentiellement concentrée en Asie du Sud-est. Et les pays se disputent notamment les eaux territoriales.
Sur la période 2015-2019, la France se place comme le deuxième exportateur mondial de navires militaires, notamment de sous-marins, en tonnage. La Corée du Sud se place en premier et la Chine en troisième. La France se place troisième en termes de nombre de navires vendus à l'exportation, derrière l'Allemagne et la Chine.
Naval Group, le groupe industriel français est le leader européen du naval de défense. Il est désormais implanté dans 18 pays et au service de plus de 50 marines. Le constructeur fait partie du premier cercle d'entreprises exportatrices de sous-marins.
Les années 2015-2030 correspondent à la fin d'un cycle historique de sous-marins. La France, les États-Unis, la Russie et le Royaume-Uni sont donc en train de moderniser leurs flottes de sous-marins dans le but de perpétuer leurs capacités de dissuasion et d'adapter leurs sous-marins aux nouveaux besoins géostratégiques.
La Force océanique stratégique
Les sous-marins français dépendent des Forces sous-marines françaises (FSM), une des quatre grandes composantes de la Marine française. Les FSM sont placées sous le commandement de la Force océanique stratégique (FOST). Basée à Brest, la FOST est commandée par un officier général de marine placé sous l'autorité du chef d'état-major de la marine.
Les FSM sont composées comme ci-dessous :
- l'escadrille des sous-marins nucléaires d'attaques
- l'escadrille des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins
- la base opérationnelle de l'ile Longue (conditionnement des missiles et maintenance des bâtiments)
- l'école de navigation sous-marine de Brest (ENSM) où se forment les sous-mariniers
- quatre centres de transmission marine (CTM) stationnés à Rosnay (Indre); Kerlouan (Finistère), Sainte-Assise (Seine-et-Marne) et le centre de transmissions France Sud (Aude)
- le centre d'interprétation et de reconnaissance acoustique (CIRA), situé dans le port de Toulon, où sont stationnées les "oreilles d'or" c'est-à-dire les spécialistes sonar.
Les deux types de sous-marins français
Les sous-marins français sont tous à propulsion nucléaire. La Marine nationale est actuellement en train de renouveler sa flotte.
Les sous-marins nucléaires d'attaque (SNA)
La France dispose de cinq sous-marins nucléaires d'attaque opérationnels de classe Rubis : Rubis, Casabianca, Emeraude, Améthyste et Perle. Le Suffren, nouveau sous-marin de la classe Barracuda devrait être actif d'ici fin 2021. L'escadrille des sous-marins nucléaires d'attaque est basée dans le port militaire de Toulon (Var)
Caractéristiques d'un SNA
Les SNA sont de redoutables chasseurs de sous-marins. Ils assurent la sûreté et le soutien de la FOST et la protection d'une force aéronavale à la mer comme, par exemple, pour l’opération Trident lors de la guerre d’indépendance du Kosovo en 1999.
Ils participent aussi à une dissuasion conventionnelle. Il leur est ainsi possible de rejoindre rapidement un théâtre d’opérations, d'y rester plusieurs semaines pour collecter du renseignement, participer à des opérations spéciales et, si besoin, d’utiliser leurs armes : torpilles et/ou missiles avec une capacité de changement de milieu.
Les SNA partagent les caractéristiques techniques suivantes : équipés d'un réacteur nucléaire et d'un groupe turbo-réducteur de 7 MW, ils sont longs de 73,6 mètres, larges de 7,6 mètres pour un poids de 2.670 tonnes en plongée. Leur immersion maximale est de 300 mètres.
Ils sont armés de quatre tubes lance-torpilles de 533 mm capables de lancer des torpilles F17 de lutte anti-navires et anti-sous-marines ou des missiles SM-39 EXOCET antinavire à changement de milieu. Ils disposent d'un sonar multifonction, d'un sonar remorqué d’écoute très basse fréquence, d'un détecteur de radar ARUR 13, d'un système de transmissions par satellite et d’un système de combat Titlat.
Ces sous-marins peuvent naviguer 220 jours par an. Afin d'armer chaque SNA, deux équipages composés chacun de 70 hommes (8 officiers, 52 officiers mariniers et 8 quartiers-maîtres et matelots) sont nécessaires.
L'activité d'un équipage de SNA se compose ainsi :
- 6 semaines d’entraînement sur les simulateurs de navigation sous-marine
- 3 à 5 semaines d’entretien réalisées en commun par les deux équipages, le second équipage rentrant de mission : c’est la passation entre les deux équipages
- 13 semaines d’activité opérationnelle à la mer
- une nouvelle période d’entretien au retour de mer
- les permissions
La classe Rubis
Les SNA de la classe Rubis ont été admis au service actif en 1983 pour le Rubis, 1887 pour le Casabianca, 1988 pour l'Émeraude, 1992 pour l'Améthyste et 1993 pour le Perle. Ils ont tous été construits par Naval Group.
Le Saphir, admis au service actif en 1984, a été retiré du service actif à l’été 2019.
Le Perle a été victime d'un grave incendie le 13 juin 2020. Naval Group se charge de réparer le SNA. Une opération qui mobilise 300 personnes pendant six mois à Cherbourg (Manche). .
Le programme Barracuda
Le programme Barracuda a été lancé en 1998 par la Direction générale de l’armement (DGA). Il vise à renouveler la flotte des SNA de classe Rubis, conçus dans le contexte de Guerre froide et les remplacer progressivement par six SNA de type Suffren, plus polyvalent.
Les nouveaux SNA seront plus discrets, plus rapides à vitesse tactique, pourront être déployés sur de plus longues missions et embarquer deux fois plus d'armes. Ils seront également équipés d'un missile de croisière naval et donc doté d'une capacité de frappe contre la terre dans la profondeur.
Ce programme, à plus de 9 milliards d'euros, intéresse aussi l'étranger. La Marine australienne a commandé à la France douze sous-marins Barracuda à propulsion conventionnelle.
Le premier sous-marin de cette nouvelle classe a été livré en 2020 à la Marine nationale. Les livraisons des cinq autres submersibles du programme Barracuda (Duguay-Trouin, Tourville, de Grasse, Rubis et Casabianca) s'échelonneront jusqu'en 2030. Le deuxième SNA de la classe Suffren, le Duguay-Trouin, actuellement en phase d'achèvement, devrait être livré en 2022.
Le Suffren
La construction a débuté en 2007 chez Naval Group. Le Suffren est le premier sous-marin de navire de tête de la classe Suffren du programme Barracuda. Il a été livré à la Direction générale de l’armement (DGA) le 6 novembre 2020, après huit mois d’essais à quai et de six mois de tests en mer. Son admission au service actif est prévue pour 2021.
Le Suffren a pour but de devenir un pilier majeur de la défense française. Il assumera des missions de soutien à la dissuasion nucléaire, de collecte de renseignement, de protection du groupe aéronaval (notamment de bâtiments comme le Charles-de-Gaulle) et de lutte sous-marine et anti-navire.
Il présente l'avantage d'être jusqu'à dix fois plus silencieux que les SNA de classe Rubis. Contrairement aux autres sous-marins, il n'est pas équipé de périscope optique mais d'un mât optronique “non pénétrant” doté de caméras, ce qui le rend moins vulnérable. Révolution pour un sous-marin, il sera aussi capable de frapper à terre grâce à ses missile de croisière naval (MdCN) d'une portée de 1000 kilomètres. L'utilisation du MdCN est adaptée aux missions de destruction d'infrastructures de haute valeur stratégique. Cet atout augmente ainsi la capacité de pénétration des armes françaises sur les théâtres d'opérations. Il aura également une autonomie de 70 jours soit 25% de plus que les SNA de la classe Rubis.
Le Suffren est aussi le premier sous-marin équipé pour recevoir des femmes parmi les membres de son équipage (63 marins), avec des quartiers spécialement dédiés. Ce n'est qu'en 2014 que le gouvernement a accepté d'ouvrir les sous-marins à des femmes.
Les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE)
La France dispose de quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins opérationnels de type Triomphant : Le Triomphant, Le Téméraire, Le Vigilant et Le Terrible. Quatre sous-marins de troisième génération pourraient être livrés à partir de 2035.
Caractéristiques d'un SNLE
L'escadrille des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins, composée de sept équipages, est basée à l'île Longue près de Brest (Finistère).
Les quatre SNLE sont regroupés au sein de la FOST. Ils patrouillent successivement afin d'assurer une présence permanente de la dissuasion nucléaire à la mer et garantir toute atteinte aux intérêts vitaux de la France. Grâce à cette permanence, il est à tout moment possible d'exécuter une frappe nucléaire ordonnée par le président de la République. Afin d'assurer cette disponibilité, les SNLE sont armés par deux équipages (bleu et rouge) composés de 110 marins chacun.
Les sous-marins alternent les périodes de patrouille en mer et d'entretien à la base. Les équipages suivent quant à eux un cycle alternant périodes d'entretien et d'entraînement se succédant aux patrouilles et aux permissions.
Les SNLE de type Le Triomphant font 138 mètres de long et 12,5 mètres de large. Ils pèsent 14.200 tonnes en plongée et peuvent s'immerger au maximum à 300 mètres. Ils sont équipés d'un réacteur nucléaire et d'un groupe turbo-réducteur de 30,5 MW. Chaque équipage est composé de 16 officiers, 85 officiers mariniers et 12 quartiers maîtres et matelots.
lls sont équipés de seize missiles stratégiques M51. Leur armement d'autodéfense est composé de quatre tubes lance-torpilles de 533 mm qui peuvent lancer des torpilles F17 et/ou des missiles SM-39 EXOCET antinavire à changement de milieu. Ils sont aussi dotés d'un radar, un sonar multifonction, un sonar remorqué d’écoute très basse fréquence, un système de transmissions par satellite, et un système de combat SET ou SYCOBS. Ils sont indétectables car "dilués" dans l'océan.
La classe Le Triomphant
Les SNLE de type Le Triomphant ont été admis au service actif en 1997 pour Le Triomphant, 1999 pour Le Téméraire, 2004 pour Le Vigilant, et 2010 pour Le Terrible.
Les SNLE 3G
La France est en phase de renouvellement de ses SNLE. Ainsi, quatre sous-marins troisième génération (SNLE 3G) devraient être livrés à la Marine nationale à partir de 2035. Ils remplaceront les SNLE de type Le Triomphant et incarneront la composante océanique de la force de dissuasion nucléaire française.
La phase de conception générale de ces nouveaux sous-marins a été lancée en février 2021. Elle doit durer cinq ans. La première tôle devrait être découpée en 2023. Ces SNLE 3G ont vocation à naviguer jusqu'en 2090.
Ces nouveaux sous-marins, conçus par Naval Group et TechnicAtome, seront légèrement plus lourds et plus longs que les SNLE actuels. Ils seront dotés de seize missiles stratégiques M-51. Leur équipage de 110 personnes sera mixte.
Le SNLE 3G sera surtout d'une discrétion acoustique sans précédent, "pas plus bruyant qu'un banc de crevettes", a promis la ministre des Armées, Florence Parly.
Ces nouveaux sous-marins sont conçus pour pouvoir embarquer trois mois en autonomie complète sous les océans.
Le coût de ces nouveaux SNLE est classé secret-défense. La phase de conception coûterait déjà plusieurs milliards d'euros.
Les sous-mariniers : missions et métiers
Les forces sous-marines sont composées de plus de 3.200 marins militaires et civils.
Missions
Les sous-mariniers assurent des missions d'intervention, de renseignement, de protection et de dissuasion.
Au cours des missions d'intervention, les sous-mariniers doivent être capables de traiter les menaces navales, engager les forces armées dans un conflit, infiltrer et exfiltrer les forces spéciales.
Pour les missions de renseignement, ils collectent, analysent et diffusent les renseignements sur la situation maritime mondiale.
Pour les missions de protection, les sous-mariniers doivent assurer la protection des SNLE et du groupe aéronaval, lutter contre les narcotrafics, la piraterie, etc.
La mission de dissuasion, impose aux sous-mariniers d’êtres prêts à tout moment de protéger les intérêts vitaux de la France en maintenant en permanence en mer un sous-marin nucléaire lanceur d’engins.
Métiers
On compte 28 métiers différents et plus de 80 qualifications chez les sous-mariniers.
les métiers des opérations navales qui consistent à observer les mouvements autour des unités de la marine, identifier les menaces, réagir immédiatement en cas de besoin et mettre en œuvre les armes. comme matelot opérations navales, technicien armes et munitions, détecteur anti-sous-marin, technicien systèmes d’information, réseaux et télécommunications, officier conduite des opérations, navigateur timonier. Les métiers des opérations navales
les métiers de l'énergie et de la propulsion, dont les missions sont d'exploiter, entretenir, contrôler et réparer les équipements et les systèmes de propulsion, de production et de distribution d’énergie des bâtiments de combat. On y trouve des matelots machine, des techniciens de maintenance navale, des mécaniciens, des électroniciens naval, des matelots mécanique et électricité et des officier propulsion.
les métiers du soutien comme gérant d’établissement de restauration collective. Il existe aussi des postes dans les domaines des ressources humaines, de l'informatique et de la logistique. Ils ont pour mission d'assurer le bon fonctionnement des unités en mer et à terre.
les métiers du nucléaire comme technicien de maintenance nucléaire, technicien en énergie nucléaire, mécanicien des armes stratégiques, atomicien, officier conduite. Ils doivent assurer la conduite et la maintenance du réacteur nucléaire et des installations auxiliaires.
Qualités requises
Chaque année, plus de 300 sous-mariniers intègrent la Force océanique stratégique.
Les voies d'accès sont différentes selon le poste visé (matelot de la flotte, officier marinier, officier, interne…). La marine forme près de 90 marins par an afin d'intégrer la filière du nucléaire considérée comme particulièrement exigeante. f
Pour devenir sous-marinier, il faut être de nationalité française, être âgé de 16 à 30 ans et avoir un niveau 3e à bac+5. Depuis 2014 seulement, les femmes peuvent faire partie de l'équipage d'un sous-marin.
Les équipages des sous-marins doivent être autonomes et déterminés car ils doivent pouvoir rester longtemps en mer sans soutien extérieur. Les SNA et les SNLE sont des sous-marins très complexes, il faut donc pouvoir relever ce défi technique.
Les sous-marins dans la fiction
Films
De nombreux films sur les sous-marins existent, notamment des films de guerre. On peut citer "Les Maudits" de René Clément sorti en 1947; "L'Espion qui m'aimait", 10e James Bond réalisé par Lewis Gilbert et sorti en 1977; ou encore "Le Chant du loup" d'Antonin Baudry sorti en 2019.
Livres
Au rayon livres, on peut citer le roman d'aventures de Jules Verne, "Vingt mille lieues sous les mers" (1869-1870), dans lequel figure le Nautilus du héros, le capitaine Nemo. Mais aussi "A la poursuite d'Octobre Rouge" (1986), de Tom Clancy; "Uss Seawolf" (2000) et "Mutinerie sur le Shark" (2001) de Patrick Robinson.
Jeux vidéo
Les sous-marins se retrouvent aussi dans les jeux vidéos. Comme dans "Subnautica", où le joueur peut construire des sous-marins. Le jeu est disponible sur Xbox One, PlayStation 4, Windows et macOS.